Or donc, le Léman…

Que n’a-t-on dit, chanté, dansé sur le compte de ce miroir, de cet enfant qui pousse dans le ventre du Rhône ?

200e ami facebookien, j’avais promis de lui dédier un article dont d’aucun (et d’aucune surtout) souhaitaient être préservés… Qu’ils soient aujourd’hui rassurés : le fendant, le dorin, le sylvaner voire le viognier n’arriveront plus désormais à combler l’étendue désertique que notre démocratie cultive, laissant nos différences nous diviser.

Coïncidence qui donne à ce billet la patine qui tue : Manu, mon fils aîné, assume la paternité (ne t’emballe pas Caro !;-) de ce groupe FaceBook…
C’est lui aussi qui voulait, l’été dernier, voir de ses propres yeux, si le Rhône, c’est à dire l’eau de son lac, se jetait bien, comme sur la carte, dans les bras du grand Bleu…

 

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