Je vous jure…

Je vous jure que j’aimerais bien parler d’autre chose, mais c’est plus fort que moi…

Faut dire que vous avez du bol: vous avez échappé, dans le désordre, à Valérie G., à Cécile B. (vous inquiétez pas, je décode à la fin de l’article), à Angela M., à Jacqueline de Q. (…ben quoi, qu’est-ce que j’ai dit..?), bref, à une pléthore de dames que vous adorez ou détestez, mais dont un souffle de destin s’est emparé de mon attention.
Au point de se demander de quel bois je me chauffe: entre la volatilité d’un sans-plomb 95 un peu fade et mou, la virilité du gazoil qui transporte les 50 kilos d’une pléiade de guenons quadras épilées, juchées sur 4 roues allemandes en alu, toutes majeures et motrices…, l’alibi du bio-éthanol et des crétins qui se branlent devant le porte -clé de leur break suédois… La planète se meure, mais tellement doucement. Pas de panique donc.
En attendant, faut se farcir cette campagne de pub qui va finir par nous faire crever tous.

On nous disait dans 24 heures que plein de femmes bien (c’est quoi, au fait, une femme pas bien ?) ont décidé d’adhérer à l’UDC. Pour illustrer cette idée de volume, on nous montre une foutriquette nourrie depuis sa première colique néonatale aux mamelles du parti, une arriviste à qui aucun autre parti n’aurait confié même la clé des champs et une sexa qui dit bien aimer qu’on appelle un chat un chat…Tout un programme, dirait le grand Charles (De Gaulle).

En les cuisinant un minimum, elles avouent toutes, au plus tard à la cinquième ligne de l’interview, qu’elles n’adhèrent tout de même pas trop à la notion de « la femme aux fourneaux »… Allons-donc !
On peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre et le c… Pierre d’o, voyons !

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